Annonce bdsm paris – En quête de mon futur partenaire à mes divins pieds.

C’est génial d’entendre que tu cherches une expérience authentique. Explorer ses limites est toujours une aventure passionnante. Dis-moi, qu’est-ce qui t’attire le plus dans une relation D/s ?

ce qui m’attire, c’est le dévouement à quelqu’un qui saurait me prendre en main. Ce sentiment d’abandon complet, de servir, d’explorer où ma maîtresse peux m’amener.

J arrive pas a vous joindre maîtresse

Bonjour maîtresse j arrive pas maîtresse dommage

Bonjour ici, Frédéric, homme 56 ans, 1m85, 74 kilos,

Résolument « kinky », ma sexualité ne s’épanouit que dans cet univers SM. Très charnel et tactile, j’aime toucher ma partenaire dans nos jeux, embrasser vos lèvres, votre bouche, chaque parcelle de votre corps à ma portée, respirer le parfum de votre peau

Fétichiste de la soie, mais pas seulement, j’aime sentir, un épais bandeau solidement fixé sur mes yeux par deux nœuds secs sur ma nuque, un bâillon emplissant ma bouche, les épaisseurs d’étoffe envelopper, recouvrir, ma tête et mon visage, peu à peu, lentement mais implacablement, sentir et entendre ces nœuds serrés, tendus, l’un après l’autre, après une cagoule peut-être, jusqu’à une sensation d’étouffement ou d’étranglement, un foulard roulé en bandeau épais serré à mon cou sans échappatoire. Repousser les limites jusqu’à implorer, n’y tenant plus, d’être détaché.

Sentir mon corps peu à peu immobilisé, attaché, entravé par des menottes, des cordes, des foulards, me retirant peu à peu, dans ces gestes pervers, toute liberté de bouger, de vous voir ou de vous goûter. Il ne me reste plus alors que la faculté d’entendre vos pas ou de sentir votre parfum.

J’aime le travail des seins, l’alternance perverse des caresses du bout de votre langue, ou les faire rouler comme une bille entre vos doigts, à travers une étoffe de soie et l’instant d’après sentir la morsure brûlante de l’acier froid des pinces. Vous, perverse, agitant de temps à autre la chaînette entre les deux pinces, augmentant encore la douleur jusqu’à la rendre insupportable. Repousser sans cesse les limites en confiance.

Allongé au sol, les mains dans le dos, menottées, sentir tout votre corps s’appuyer sur ma bouche pour obliger ma langue, contrainte, à s’immiscer, profondément, de longues minutes en votre intimité, accompagnée de coups de cravache ou de fouet sur le reste de mon corps disponible.

Et peut-être l’instant d’après vous empaler littéralement sur mon sexe dressé, improvisant de lents allers-retours le long de ce tube de chair, objet sexuel animé, m’interdisant de jouir avant votre signal.

Enfant pas sage, parfois rebelle ou récalcitrant, je mérite parfois une punition, une sanction, qu’on me torde le bras pour mieux me contraindre si, tel un cheval refuse l’obstacle, vous sentez en moi une résistance à être dominé.

J’en termine : je ne conçois pas ces jeux sans jouir à la fin, de quelque manière que ce soit, ce serait trop frustrant pour moi sinon.